Déprime...


J’ai essayé de ne plus exposer sur cette page ce que je vis, ce que je ressens ! Oui, j'ai bien essayé durant ces quelques mois de me persuader du fait que si je n’écrivais plus rien sur mes doutes, mes peurs ou mon putain de quotidien, c’est que dans mon incessante poursuite du bonheur, j’étais tout prêt du nirvana !

Fuck off !
J’ai eu tort d’y croire !

Ignare, semble t-il, en matière de sentiments, perpétuellement en attente de réponses qui ne viendront sans doute jamais sur le sens de la vie, sur le sens de ma vie... me nourrissant exclusivement de ma déliquescence, je me remets à taper des "maux" (sans suites) sur le clavier de mon Vaio, et arrête de courir après une inaccessible plénitude à la manière d’un puceau acnéique en quête après sa première baise.



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